Forearm oscillation during cooling of the dentate nucleus in the monkey

JD Cooke, JS Thomas - Canadian Journal of Physiology and …, 1976 - cdnsciencepub.com
JD Cooke, JS Thomas
Canadian Journal of Physiology and Pharmacology, 1976cdnsciencepub.com
Une étude des oscillations dans l'accélération du bras est faite chez le singe au cours d'un
travail manuel accompli par étapes au rythme de l'animal. Les analyses de densité spectrale
de puissance faites sur les résultats obtenus par accélération du bras chez les singes
normaux au cours des mouvements de flexion et d'extension et au cours des périodes
comprises entre les mouvements montrent trois pics majeurs à 1–1.5 Hz, 3–5 Hz et 5.7 Hz.
La réfrigération du noyau dentelé augmente de façon marquée l'importance relative de la …
Une étude des oscillations dans l'accélération du bras est faite chez le singe au cours d'un travail manuel accompli par étapes au rythme de l'animal. Les analyses de densité spectrale de puissance faites sur les résultats obtenus par accélération du bras chez les singes normaux au cours des mouvements de flexion et d'extension et au cours des périodes comprises entre les mouvements montrent trois pics majeurs à 1–1.5 Hz, 3–5 Hz et 5.7 Hz. La réfrigération du noyau dentelé augmente de façon marquée l'importance relative de la bande spectrale 3–5 Hz. Le pic spectral dans ces limites de fréquence, est plus grand que les deux autres, qui sont aussi retrouvés au cours du refroidissement. Les fonctions d'autocorrélation tirées de grandes séries de résultats portant sur les mouvements de flexion et d'extension et les périodes entre les mouvements montrent des variations périodiques régulières à la fois chez les animaux normaux et traités. Cela suggère que la survenue des mouvements spontanés du bras n'entraîne aucun changement de phase des oscillations continues.[Traduit par le journal]
Canadian Science Publishing